Elles assurent aussi le contrôle :

• De l’infrastructure ;
• Des logiciels installés ;
• De la base de données et de l’intégrité des dossiers.

Le logiciel sous licence installé par CASPEL et la gestion spécialisée protègent entièrement l’infrastructure virtuelle de manière automatique. De plus, il supprime les problèmes liés à la reproduction non autorisée et au remplacement des données.

Contrôle d’accès

Pour protéger les ressources informatiques des interventions externes, le logiciel prévoit un système d’accréditation du personnel habilité à intervenir au sein de l’infrastructure virtuelle.

Il contient trois fonctionnalités principales :

• La définition de l’accessibilité et des limites pour les administrateurs de l’infrastructure virtuelle ;
• Le partage de l’accessibilité pour les administrateurs de la sécurité informatique ;
• Le contrôle des accès réalisés.

Cette protection de haut niveau encadre le processus de modification de l'infrastructure virtuelle et renforce ainsi la sécurité informatique.

Contrôle des rapports réciproques

Garantir la sécurité des rapports internes de l'infrastructure virtuelle n’est possible que par le contrôle total des processus. La mise en place d’une plateforme virtuelle dédiée et de moyens techniques concentrés sur les interfaces est alors nécessaire.

Cette méthode permet :

• L’écranisation des réseaux ;
• Le contrôle complet des interventions externes ;
• Le calcul des probabilités d’attaques du système et la définition des moyens de les éviter ;
• La protection anti-virus des interfaces.

La technologie proposée par CASPEL présente l’avantage de fonctionner sans avoir recours à du personnel. La densité des machines virtuelles peut toutefois être augmentée.

Protection des données des machines virtuelles

Le cryptage est la principale méthode de protection des données des machines virtuelles. L’application des technologies de cryptage minimise les menaces éventuelles à la sécurité informatique au sein de l’infrastructure informatique en limitant l’accès aux données.

Utiliser les moyens de cryptage dans les ressources de calcul des centres de traitement de données « étrangères » (location) par des machines virtuelles est une solution pertinente.